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Hier les sœurs pour une fois pas fâchées, CGT et FO + +, étaient dans la rue ... à Romilly aussi sauf que "les manifestants, dixit le canard, manquaient sérieusement à l'appel. Seule une petite centaine de personnes ont décidé de s'associer à cette manifestation." |
On ne saura pas si, pendant qu'ils battaient le pavé, les manifestants ont
répondu au questionnaire que leur avait concocté la CFDT...
...et s'ils sont allés consulter le texte de l'accord qu'ils
dénonçaient pour bien savoir contre quoi ils manifestaient
dénonçaient pour bien savoir contre quoi ils manifestaient
Clic pour voir le questionnaire |
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Clic pour lire le texte de l'accord |
FO signe chez Renault un accord de "compétitivité et flexibilité" du genre de ce qu'elle dénonçait la veille bras-dessus-bras-dessous avec la CGT...
34 commentaires:
Merci pour ce travail de vrai journalisme...faudrait vous envoyer des stagiaires... il y a des besoins
Ils sont marrants à la CFDT, ils posent les gentilles questions et donnent « leurs » bonnes réponses à un trop mignon questionnaire interdit au plus de 12 ans :
- rond orange (couleur préférée des optimistes…Et du jus d’orange) : vous avez bon et vous êtes un enfant sage, qui croise les bras quand Môssieur l’employeur accepte de distribuer un bon point au plus docile,
- carré rouge (couleur de vilain danger) : Attention ! Vous avez de très mauvaises fréquentations syndicales et le « gentil » patron ne va pas être content quand il va savoir que vous ne partagez pas la docilité de la « trop mignonne CFDT » ,
- triangle noir (comme votre âme perdue) : Vous refusez de jouer avec vos petits copains au Monopoly de la World Company et vous êtes un attardé, qui ne réussira jamais rien de bon dans notre si jolie société consommable à souhait (par qui donc ???).
Tout çà, c’est beau comme du François CHEREQUE, ou de la Nicole NOTAT !!!
2 videos intéressantes
http://alainpierrefournier.blogspot.fr/
LA CFDT, courroix de transmission de qui?
Du MEDEF?
Du PS?
Des deux?
Apparement, pas de la majorité des salariés
Vous avez vu la cote de popularité de Hollande? en chute libre
Certainement parce que les citoyens ne comprennent rien ils ne sont capables que de faire des manifestations inintelligentes n'est ce pas RS?
"Apparemment" pas votre "courroie"!
On est mal barré, avec ces directions syndicales qui signent avec le MEDEF. La base CFDT doit être emmerdé. Elle n'est pas responsable de ce que font leurs leaders. Un bon conseil quitté ce syndicat, pour agir autrement.
Il n'y a pas de syndicalisme qui vaille sans négociation et on ne négocie utilement qu'avec ses adversaires. Et bien sûr toute négociation s'achève sur un compromis. Si vous n'acceptez pas cette règle du jeu, libre à vous de renverser la société, mais les exemples historiques n'ont pas brillé par leurs résultats !
Hollande voulait à tout prix un accord rapide pour aider la patronne du MEDEF à briquer un nouveau mandat sans se soucier des conséquences pour les ouvriers.
Tout est qu'effet d'annonce et enfumage pour ce gouvernement.
qu'est-ce qu'il reste des 75% d'impôts pour les riches ? Rien car la loi n'a pas passé. En revanche, les taxes sur les salaires ne sont pas chantées sur les toits, mais elles sont déjà acquisses.
Comment ce fait-il que ce genre d'accord fonctionne dans les pays nordiques.
Grace à la fléxi-sécurité, le chomage est bien plus bas dans les pays nordiques qu'ici.
En France, quoi qu'il arrive, on est contre car il y a signature du Medef.
Regardez à l'extérieur.
POURQUOI LE CNPF A-T-IL CHANGE DE NOM ?
(Franck Lecocq Professeur au Lycée Technique Jean PROUVÉ de LOMME -59-)
En novembre 1999, le CNPF est devenu le Medef ; Plus qu’un simple changement de nom, plus qu’une métamorphose, il s’agit d’une véritable rupture dans l’histoire des relations sociales en France. Ce constat est au moins valable pour deux raisons :
1. Le Medef n’est plus un simple syndicat de patrons mais un mouvement politique doté d’un projet global de société : « la refondation sociale ».
2. Cette force politique joue un rôle dominant dans les rapports sociaux.
UNE PRÉPONDÉRANCE ACQUISE aux moyens d’ultimatum, de chantage au retrait des organismes paritaires, et autres techniques d’intimidation que les média ont coutume d’appeler « nouveau dialogue social »… ces méthodes s’appuyant autant sur la passivité du gouvernement que sur la participation complice de certaines organisations syndicales.
UNE DOMINATION VISIBLE dans la maîtrise des lieux, des dates, des formes et des contenus des négociations entreprises par le Medef avec le monde du travail.
Les formules à la mode reprises par les politiques et les journalistes sont celles du Medef : « réformes, autonomie et responsabilisation du salarié, société civile, dépolitisation de l’économie, politique contractuelle, compétences plutôt que diplômes, valeur ajoutée… »
Aujourd’hui le Medef étend insidieusement son champ d’action à toute la société, y compris dans le monde de la santé et l’éducation :
Ne demande-t-on pas aux enseignants d’être moins conservateurs et d’accepter les réformes ?
Ne faut-il pas donner plus d’autonomie aux Chefs d’établissements ?
Et pourquoi ne pas opérer une responsabilisation des parents d’élèves indisciplinés en leur retirant les allocations familiales, ou les revenus de transfert ?
Et si on confiait la formation professionnelle à la société civile ? Il faudrait pour cela dépolitiser l’école…
Et pour réduire la violence à l’école, on pourrait faire signer des contrats aux élèves, ou recruter davantage de profs (contractuels, bien sûr…) !
De toutes les façons, il faut développer des compétences professionnelles chez nos élèves avant de penser au contenu des diplômes… cela nous permettrait d’augmenter la valeur ajoutée de l’élève…
Quel est en fait l’objectif du patronat à travers son projet de refondation sociale ?
Dans un contexte libéral, il s’agit dans un premier temps de détourner les règles du travail au profit du capital : ainsi, la loi des 35 heures, présentée par un gouvernement de gauche comme un progrès social comparable aux conquêtes de 1936, devient pour les patrons le moyen idoine pour flexibiliser le temps de travail et réduire les salaires… (1/2)
POURQUOI LE CNPF A-T-IL CHANGE DE NOM ? (suite et fin)
Mais le but ultime et en fait de supprimer toute règle (« la déréglementation » autre mot clé de la nouvelle économie libérale) et de remplacer la loi, contrat social donc collectif, donc destiné à protéger le faible contre le fort, par le contrat individuel qui organise le droit du plus fort, et qui met le salarié en demeure d’accepter en l’état les conditions de son employeur : l’autonomie et responsabilisation du salarié ; C’est par exemple, obliger le chômeur à accepter l’emploi qu’on lui propose, sous peine de se voir refuser toute allocation. Or cela se passe déjà actuellement dans l’Education nationale ! C’est aussi l’obliger à prévoir le financement personnalisé de sa retraite ou bien l’amener à travailler plus longtemps...
Cette refondation sociale, on l’aura compris, n’est donc bien qu’un marché de dupes puisqu’elle prétend réformer le comportement des salariés mais surtout pas celui des employeurs, tant au moment de l’embauche (discriminations raciales et syndicales, sur sélection des candidats qui finit par dévaloriser les diplômes) qu’au moment des licenciements (disparition de l’allocation de reconversion dans le cadre du PARE, délocalisations abusives, recherche du profit à tout prix, harcèlement...) Demande-t-on à nos exploiteurs de gisements de main d’œuvre le respect d’un code d’éthique ? Au sommet de DAVOS, Georges SOROS, le célèbre spéculateur, répond sans complexe « « Je ne crois pas trop à l’éthique. On ne peut pas demander aux entreprises de se dénaturer » (sic) Cynique, mais sincère, lui…
Dans ce cadre, l’entreprise est perçue de plus en plus comme une machine à multiplier les profits des actionnaires : même si les suppressions d’emplois ont régressé en France, les groupes internationaux sont de plus en plus nombreux à licencier, à l’instar de Danone (2 640 emplois supprimés dans toute l’Europe), Marks & Spencer va faire disparaître 4390 postes, Nortel 6000, la palme revenant à Daimlerchrysler avec 19 000 suppressions en 2001, auxquelles vont s’ajouter 35000 autres d’ici trois ans – encore une fusion « juteuse » en perspective….
Ainsi, dans un contexte ultra libéral quasi-hégémonique la nouvelle économie, à travers le Medef, tente de prendre en main l’éducation pour lui imposer sa marque, persuadée que toute société humaine doit reposer sur la convoitise et l’avidité, l’esprit de compétition et la rentabilité immédiate…
Elle a simplement oublié que c’est AUSSI sur le terrain des valeurs morales que se livrent les batailles politiques ! Plus que jamais, il nous faut être lucides, déterminés et unis pour réinscrire l’économie dans la société démocratique, dans laquelle chacun doit pouvoir décider de son destin. (2/2)
À boire et à manger dans tout ça
Le CNPF comme le MEDEF avait une vision ultra-libérale de la société mais était plus cantonné aux grandes entreprises
Le MEDEF a sa vision de la société qu'on partage ou pas, mais les syndicats aussi, et apparemment pas tous la même. 2 solutions le pugilat général ou la concertation pour trouver des terrains d'entente dans l'intérêt général. Vous choisissez quoi ?
Précision importante, le texte en référence commence à dater (sûrement une dizaine d'années)...C'est dire si depuis le MEDEF a marqué son territoire (au sein des partis et des pseudos-syndicats)
Qu'est-ce qu'un "pseudo-syndicat"? Un syndicat dont vous ne partagez pas les analyses? Si chacun commence à traiter de "pseudo" les organisations où il ne se reconnaît pas, on n'est pas sorti de l'auberge!
Je suis à la CFDT depuis plus de dix ans et j'en ai marre de recevoir des leçons de certains , biens planqués.
En crachant sur mon syndicat , ils crachent sur tous les syndiqués salariés...
Grace à la fléxi-sécurité, le chomage est bien plus bas dans les pays nordiques qu'ici.
...et les travailleurs sont taillables et corvéables à merci...quel avenir pour des jeunes qui veulent s'installer dans la vie...il y avait déjà dans le code du travail, des dispositions pour le temps de travail déterminé...le Danemark, l'Allemagne sont dans ce système...n'empêche que l'austérité et chômage sont d'actualité...et on travaille en Allemagne parfois à 7€ de l'heure...c'est cet avenir que défend la CFDT! et son coach RS.
Grace à la fléxi-sécurité, le chomage est bien plus bas dans les pays nordiques qu'ici.
QUELQUES AUTRES SPECIFICITES DANOISES
Le Danemark ne fait pas partie de l’Euro, et peut donc maîtriser sa politique monétaire. Il échappe à la politique de la BCE qui fait perdre tant d’emplois (euro fort qui pénalise l’exportation, désindustrialise...).
C’est en créant ou ne perdant pas des emplois que le Danemark fait reculer le chômage et non par la flexibilité
Les prélèvements obligatoires sont nettement plus importants qu’en France, la TVA est à 25 %, la tranche marginale de l’impôt sur le revenu de 60 %.
Remarque : on entend parfois dire qu’appliquer le modèle danois consisterait à diminuer les charges des entreprises et augmenter la TVA. Ce serait une nouvelle baisse du pouvoir d’achat au profit des actionnaires. Au Danemark il y a un autre équilibre car les salaires sont infiniment plus élevés qu’en France :
à l'anonyme qui veut toujours que RS soit le coach de ceci ou de cela, quelques éléments pour compléter sa doc.
Chômage en % de qqs pays de l'UE avec ou sans euro
Ensemble Zone UE
fev 2012 10,2 janv 2013 10,8
Zone euro
fev 2012 10,9 janv 2013 11,9
Danemark hors Z Euro
fev 2012 7,5 janv 2013 7,4
Belgique dans Z Euro
fev 2012 7,1 janv 2013 7,4
Finlande dans zone euro
fev 2012 7,6 janv 2013 7,9
Allemagne dans Z Euro
fev 2012 5,6 janv 2013 5,3
Suède hors Z Euro
fev 2012 7,8 janv 2013 8,0
Pays-Bas dans Z Euro
fev 2012 4,9 janv 2013 6,0
Bon maintenant mouliner tout ça et voir qu'il n'y a pas de constat simpliste
@ RS …On va très bien se comprendre sur ma notion de « pseudo-syndicat »…Au cours de ma vie professionnelle, j’ai officié à différents étages de la vie syndicale, puisque tour à tour, j’ai été : Délégué du Personnel, Membre et Secrétaire de CE, élu à la différence d’âge contre le candidat de l’employeur, qui n’aurait pas dû par mégarde, aligner un représentant faisant bien plus vieux que moi, Délégué Syndical et enfin Conseiller Départemental du Salarié du 94…Comme le nerf de la guerre résidait en un rapport de force constant avec les patrons auquel j’ai eu à faire (ils ne sont pas tous ainsi, mais ils sont quand même nombreux), je suis toujours allé vers le syndicat faisant le plus peur à nos patrons sympas (l’armée française n’avait-elle pas fait ainsi, face aux allemands, avec les infortunés tirailleurs sénégalais en 1914).
De ces multiples expériences vécues en des établissements privés différents (je ne connais pas la réalité de l’action syndicale dans le Public), il me reste la certitude absolue que les 2/3 des élus du personnel de ce secteur (le privé) sont soit, salariés dociles se présentant sur ordre, soit des individus intéressés ne cherchant rien d’autre que tranquillité vis-à-vis du patron, voir plus si affinités…Le marché conclu entre partenaires est d’autant plus aisé qu’il suffit de parcourir le Code du Travail de fond en comble pour saisir qu’il n’existe aucun début de loi réprimant la collusion entre employeurs et élus, dans le cadre de leurs attributions…Au-delà de ce que j’ai pu vivre en entreprises, ceux qui ont déjà fréquenté « feu » le Conseil des Prud’Hommes de ROMILLY (je l’ai saisi par deux fois en référé) pourront attester que la dizaine d’affaires traitées dans une année donnait lieu à des séances très particulières, dans la mesure où, à l’intérieur de ce qui ressemblait plus à une salle de squash qu’à un Tribunal, un assesseur représentant des patrons, se voulant plus que pointilleux, perturbateur et pour tout dire très partial, faisait en sorte de régler le sort du plaignant, en présence d’une Présidente représentante des salariés, muette comme une carpe et on ne peut plus soumise à son assesseur en chef, alors qu’elle était étiquetée du syndicat réputé très en pointe auquel j’appartenais d’ailleurs (bien entendu, je n’attendais d’elle aucune faveur, simplement une vigilance un poil plus soutenus vis-à-vis de l’individu sensé représenter un arbitrage digne en matière de Droit du Travail).
Voilà, je pense avoir été assez complet sur le sens du terme « pseudos-syndicats » qu’au niveau du secteur privé j’accorde à la totalité du paysage en place.
Et à part cela, que devient Sirius ?
Toujours à 8AL !
A l'anonyme de 8h20
7€ de l' heure ne Allemagne pour quel q'un qui travaille ?
ET un chômeur en France il gagne combien de l'heure?
Vaut il mieux être un salalrié pauvre en Allemagne qu'un chômeur pauvre en France?
Vaut il mieux un pays qui s'en sort ou un pays comme le notre que Sarkozy et ses amis ont mis au bord de la faillite?
Après ma mise au point, j'attendais une réponse plus ou moins courroucée de RS, ou d'un pion anonyme habituel, voir des réflexions douteuses et gratuites, mais rien "R.I.E.N.", y aurait-il du KO technique dans l'air ?
1 Il en faut beaucoup pour courroucer RS
2 Ca va peut-être lui casser sa barraque, mais CM le courrouce moins que quiconque, il dit ce qu'il pense, sans être anonyme et même si RS ne pense pas comme lui, il faut bien de tout pour faire un monde
3 RS n'est pas 24/24 sur son blog
4 sur le fond, on aurait tort d'assimiler une organisation à ses militants. Et si imparfaites que soient les organisations politiques ou syndicales, elles sont un élément majeur du fonctionnement démocratique de la société qui ne peut se réduire à une collection d'individus. Elles sont pour parodier Churchill, le pire des moyens de la démocratie, à l'exception de tous les autres!
a C Moschet...
le Conseil des Prud’Hommes de ROMILLY avec Martin...LOL...Il parait que c'est un bon ! Normale que la Présidente représentante des salariés, est muette comme une carpe.....
par contre rien sur notre Joe ici dans les coms
@ RS...La question n'étant jamais soulevée, nulle part (donc, RS n'est pas exclusivement mis en cause), il y a effectivement un manque cruel de questions soulevées sur le relationnel trop souvent équivoque entre syndicats et patrons, non seulement au plus haut niveau, mais aussi au sein des entreprises (en tous cas, c'est la réalité du privé); Résultat des courses, les pigeons attitrés au ball-trapp sont les syndiqués motivés, sans se sentir la capacités à être protégés par un mandat, à moins qu'ils en soient écartés par les gros malins en place...D'où la pénurie de syndicalisation actuelle, qui achève de faire le jeu du haut du panier.
@ Roméo... Joe TRICHE est déjà impliqué dans la vie municipale, on ne va pas lui demander d'être partout
FO et la CGT manifestaient hier contre la loi de fléxi-sécurité.
FO, aujourd'hui, signe chez Renault l'accord de fléxi-sécurité.
Quelqu'un peut-il m'expliquer cette position de FO ?
"FO, aujourd'hui, signe chez Renault l'accord de fléxi-sécurité."
Et demain, ils rechausseront leurs godasses à clous pour manifester contre la retraite à 65 ans ?
Heureusement que les syndicats ont parfois le sens des responsabilités comme FO chez Renault
C'est facile de jouer au Melanchon quand on est bien protégé par son statut, de jouer au général en chambre... la réalité est un peu plus compliqué que ce que les front bas du net nous assèment à longueur d e post.
à l'attention du syndicaliste anonyme de 06:15..."Le sacro-saint sens des responsabilités" entre politiques et syndicalistes fait bien souvent office de "verre de flotte" pour faire avaler au bon peuple floué, des compromissions indigestes et surréalistes en matière d'argumentaire
A l'anonyme du 7/03/6h.15
Tout ce beau monde, va déchanter un jour!
Dans ma vie salariale, j'ai toujours débrayé, lutté pour des avancées sociales, et non pas pour des sacrifices, se traduisant par des pertes d'emplois, des baisses de salaires, détérioration des conditions de travail par l'allongement de la semaine de travail, etc...
C'est aussi cela le syndicat réformiste! Accompagné l'austérité!
Eh oui les gars vous êtes des durs de durs et les autres sont des mous ... des inconscients à rééduquer.
La compétition économique entre entreprises n'existe pas vraiment.
On va respecter le "travailleur inconnu" de 6 heures du mat', car au vu de ses habitudes, il doit aller bosser et se trouve pris malgrè lui dans la fuite en avant générale, mais son problème c'est celui de tous ceux qui sont pris en otage par un Code du Travail passé à la moulinette par des décideurs universels, avec la bénédiction du monde politique, médiatique (ah! les gentils sondeurs et experts économiques) et syndical (chut! le bruit est nocif pour la somnolence)
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