RomiScope n'était pas à la réunion de la ComCom vendredi dernier, et il l'a bien regretté après tous les d'emMerlements dégringolés dans la presse autour du pôle de loisirs. Alors merci à ce témoin anonyme qui lui y était et est venu sur le blog confier ses impressions... que voilà...
"AH, LAMY...
Après la réunion quand je lui ai posé la question de son vote
d'acceptation, pour la vente du terrain de la base à la SODIC NORD, je lui ai
fait remarqué qu'en ayant voté de la sorte, il condamnait L'EDEN, notre cinéma.
Puis ensuite, je lui ai dit que ce cinéma représente "une très grand idée et une
très grande symbolique" pour les romillons et les gens des autres communes".
Vous voyez ce que je veux dire Monsieur le Maire. Eh bien il ne voit pas!
Alors j'insiste en lui demandant qui a inauguré notre cinéma: il me répond
BELMONDO...pas tout à fait faux, car BELMONDO a inauguré la galerie
d'exposition.
NON Monsieur le MAIRE de Maizières, dont on peut remarquer que
la culture cinématographique et la vie du canton de Romilly ne lui effleurent que
le bout de son nez, l'EDEN a été inauguré 14 avril 1984 par Marcel Carné et
François Truffaut deux grands réalisateurs et une pléiade d'artistes et de
comédiens, et 3 ans plus tard la 3ème salle était ouverte, inaugurée par Claude
Lelouch et Nicole Croisille.
Allart-Vuillemin reviennent donc à la charge
avec l'aide de "ces élus de droite" de la communauté de communes, pour qu'un
multiplexe voie à nouveau le jour, et du même coup signent une nouvelle fois
"l'arrêt de mort" de l'EDEN.
Mais avec le projet MERLE, la donne change. Ne
revient-on pas à la case départ de 2007, quand SORODI pour avoir le projet de
pôle ludique sur l'aérodrome, avait retiré de son dossier, le multiplexe. Quand chacun
sait que depuis l'année dernière que le torchon brûle entre Allart-Vuillemin et
Merle, au sujet du pôle ludique, on n'est pas à l'abri de rebondissements. Affaire
à suivre..."
Donc, comme il dit, affaire à suivre, RomiScope n'a pas fini d'avoir du grain à moudre!
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5 commentaires:
Pour qu'il y ai concurrence entre les deux projets, il faudrait déjà que Merle obtienne le permis de construire.
Il serait si facile de le refuser pour des questions de proximité avec des habitations. Mais bien entendu, que vaut la règlementation face à l'argent et à la perspective de quelques emplois partiels à la limite du corvéable à merci ?
Avons nous l'espoir de voir se constituer une association contre ce projet ? Probablement pas car sans le soutien des cocos et d'une certaine gauche qui ont déjà tant fait pour le développement l'empire de leur Maitre, c'est couru d'avance.
Nos grands dépositaires de la moralité romillonne, ne vont certainement pas mordre la main qui distribue les enveloppes.
et notre grand dépositaire de la moralité romillonne de 11.47 n'aurait -il pas eu dans la main une enveloppe pour distiller pareilles inepties?
et tel un chevalier sans peur et sans reproche, il va se porter à visage découvert à la tête de l'association qui va n'en doutons pas faire tomber la tête du Maitre en lui refusant le permis de construire?
En attendant, ce qui est certain c'est que le collectif de défense du cinéma Eden avec la participation active de monsieur Triché a déjà réussi à faire plier le "Maitre", les promotteurs comme Reverchon et mis une première fois en echec les élus de droite qui voulaient tous un pôle ludique avec multiplexe en dépit des engagements pris en 2007
Et ça c'est pas du baratin c'est du concret
A n'en pas douter, ils vont avoir à coeur de continuer le combat jusqu'à la victoire:
maintien du cinéma Eden et respect des engagements pris en 2007 quelque soit les promotteurs qui il ne faut pas etre naif ont tous le même objectif remplir leurs tiroirs caisse
"(...) la photo des conseillers godillots entrain de voter (...)"
"entrain" !!? Ce n'est pas une coquille de votre part puisque j'ai remarqué, monsieur l'ancien professeur, que vous faisiez systématiquement cette confusion entre le nom commun masculin "entrain" signifiant la vivacité ou la gaieté avec la locution adverbiale "en train" (en deux mots) exprimant le déroulement d'une action.
Quant au fond de l'affaire, Romilly, après avoir été la seule ville de moins de vingt mille habitants à posséder deux Leclerc, va de nouveau se singulariser avec deux pôles ludiques. Malheureusement, elle ne risque pas de se distinguer par son dynamisme économique, démographique, la richesse de son patrimoine ou par la qualité de son personnel politique, qu'il soit communiste, "socialocarteletiste" ou encore umpiste. Romilly n'échappera malheureusement pas à son destin : une ville dortoir de la grande banlieue parisienne.
"entrain" ... "en train"
Pan sur mon bec! et pour vous le plaisir de corriger le correcteur. L'habitude sans doute de raccrocher les wagons! Dont acte!
Ah au fait, puisque vous vous plaignez de la qualité du personnel politique romillon, quelle qu'en soit la couleur, peut-être nous ferez-vous l'honneur de nous concocter votre propre liste, on y gagnera au moins en qualité orthographique des arrêtés municipaux.
Ne faisons pas une fixation sur les erreurs de sématique dans ce blog
Vaut mieux s'interroger comment une nouvelle fois nous allons mettre en échec cette politique du fric, portée par des promoteurs intra-muros ou extra-muros.
Une chose est certaine la donne est différente avec le projet Merle, mais comme le souligne certains internautes, si SODIC achète, MERLE peut aussi réaliser avec ses réseaux de construction, par des appels d'offres. C'est pourquoi la vigilance s'impose concernant le maintien du cinéma EDEN. Les Romillons ne doivent plier devant la politique fric, ils doivent mettre en échec une nouvelle fois ces requins de la finance, qui ne pensent qu'à une chose, ponctionner le porte monnaie de gens qui n'en peuvent plus avec cette crise austéritaire.
On peut développer Romilly autrement qu'avec ces réalisations, en sachant que dans le domaine de l'emploi, il n'y a rien à attendre d'autre chose, que des emplois précaires, emplois de service taillables et corvéables à merci.
Tout le problème est là, pour l'avenir de nos jeunes. Comment construire sa vie et une famille avec un travail précaire.
Ce qu'il faut à Rommilly c'est faire venir des entreprises, avec du travail qualifié, bien rémunéré. Avec cette équipe qui a promis à tour de bras, ça n'en prend pas le chemin. 2014 sera l'occasion de la changer. Mais bon on est pas là, mais ça va venir vite! Résistance!
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